J'ai envie de réagir au post linkedIn d'Elodie Guyot, secrétaire générale de terres d'EFC Occitanie, intitulé : Au Carrefour des Récits : Tisser le Pouvoir des Histoires pour Forger Notre Avenir.
Et en fait cela me donne l'envie de parler de chatGPT et autres algorythmes capables de mimer les créations de l'esprit; car aujourd'hui les machines peuvent générer les récits dont tu parles Elodie Guyot , des contes, des imaginaires. Même mon dessin en direct est supplentable; j'ai déjà oui d'un événement ou des peintures étaient générées sur écran en écoutant les propos des orateurs... Les machines elles aussi coopèrent et fonctionnent, plus vite que nous. (ci-dessus extrait d'un dessin en direct réalisé en 2018 pour le CJD Tarn).
Le potentiel destructeur de l'IA est considérable. Il peut durer suffisamment de temps pour effacer les penseurs, le temps que l'on s'apperçoive de la supercherie... mais qui s'en appercevra alors?
La question est en fait politique; voulons nous d'une société sans journalistes, sans écrivains, sans artistes, sans peintres (...), finalement sans réelle créativité et nous distraire, nous instruire en compilant et mixant le passé ?
Ah et un complément que je trouve très intéressant d'Aurélien Barrau sur France Inter (émission 29 novembre 2023 Aurélien Barrau : "Nous sommes des vivants qui n’aimons plus la vie")
